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Déjà un compte ? Connectez-vous iciAujourd’hui, j’ai décidé d’inventer un nouveau terme. Ce terme, c’est la volatilité sociale. Il correspond à un concept à la fois ancien et récent.
Celui du lien mutuel qui lie la bourse aux news, aux rumeurs, et maintenant aussi à toutes les informations disponibles par internet : la presse en ligne, mais aussi les réseaux sociaux.
Jusque-là, rien d’étonnant :
lorsqu’il se passe quelque chose en bourse, comme la chute brutale d’une action, une flopée de journalistes, de blogueurs, de twitteurs va reprendre l’info et la relayer au public, à ses confrères, etc.
Ce relais a pour but d’informer le grand public autant que les professionnels de marché, qui sont avides de « flux d’infos ».
Ils sont connectés tout au long de la journée à des services de news en temps réel, comme Reuters ou Dow Jones, qu’ils paient des fortunes (jusqu’a 10 000 euros par mois).
Parfois jusqu’à l’indigestion : je me rappelle en salle des marchés, ce collègue trader qui mettait Bloomberg TV toute la journée (en haut-parleur) et ennuyait ses confrères de l’open space…
Ceci nous amène justement au corollaire, qui est…
Ce n’est clairement plus à prouver :
si des rumeurs filtrent parfois des salles des marchés vers les journalistes, l’inverse est tout aussi vrai.
Les flux d’infos constants des médias divers, influencent grandement les décisions prises par les investisseurs, du petit boursicoteur jusqu’au grand gérant de fonds.
Vous allez me dire, cela n’a rien de nouveau. Le truc, c’est que depuis l’avènement d’internet, l’effet s’est dramatiquement amplifié.
On ne compte plus les sources :
Déjà, les news ne tombent plus le lendemain, au journal du matin : elles sont disponibles dans la seconde.
De plus, il y a encore quelques années, la vulgarisation d’une info tenait dans les mains de journalistes ou d’experts.
Mais aujourd’hui, toute personne est un média en puissance.
Là où c’est encore plus puissant, c’est que cet effet peut s’amplifier de lui-même.
Exemple :
On voit bien dans ce scénario un peu extrême, l’aller-retour permanent de la sphère média à la sphère bourse.
Souvent les choses se passent ainsi, mais sur des périodes plus longues : plusieurs jours à plusieurs semaines.
En 2009, j’ai développé avec un collègue programmeur, un programme qui scanne l’internet mondial, 24h/24h.
Tout est analysé : les journaux, les flux rss, Twitter, Google, les blogs… etc.
On l’a programmé pour qu’il soit à la recherche de « pics » anormaux dans ce que j’appelle la volatilité sociale :
C’est à dire un volume de news, sur une société, une valeur mobilière précise, qui augmente au-delà de son seuil habituel.
Quand cela arrive, c’est très souvent un signe annonciateur « d’action » (sous forme de volume de trading, d’une tendance très forte), sur le cours correspondant !
C’est notamment grâce à ce programme que je peux consacrer seulement 1 à 3 heures par jour au trading, au lieu d’une journée complète.
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