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Déjà un compte ? Connectez-vous iciL’Euro est la monnaie fiduciaire officielle de l’Union économique et monétaire de l’Union européenne, laquelle comprend 28 nations membres, dont 19 ont adopté ladite monnaie.
Le principal intérêt supposé de l’euro est la facilité du commerce international grâce à l’uniformisation monétaire et l’absence de risques inhérents aux variations des taux de changes entre différentes monnaies nationales.
Les critiques de cette monnaie soutiennent à l’inverse que le monopole accordé à la Banque centrale européenne en matière de politique monétaire est préjudiciable à l’eurozone.
L’Union européenne introduisit l’euro en 1999, mais ce n’est qu’en 2002 que la circulation de cette monnaie au sein du large public et les espèces ont été mises en application.
Cette devise est à ce jour devenue la seconde la plus échangée sur les marchés financiers.
L’eurozone, l’ensemble des pays ayant adopté cette nouvelle devise, est composée de 19 pays : la France, l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, la Belgique, le Luxembourg, l’Irlande, l’Autriche, la Finlande, la Grèce, les Pays-Bas, le Portugal, Chypre, l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la Slovénie, la Slovaquie et Malte.
Outre ces 19 pays, Andorre, le Vatican, San Marino et Monaco emploient l’euro comme devise nationale.
La Banque Centrale européenne – BCE – est l’institution publique chargée de la politique monétaire afférente à l’euro. Elle est censée maintenir le taux d’inflation en deçà des 2 % par an. En d’autres mots, il s’agit pour la BCE de maintenir la stabilité relative des prix au sein de la zone euro, c’est-à-dire maintenir une certaine stabilité du pouvoir d’achat de l’euro.
L’intérêt principal de l’euro comme monnaie commune est la disparition des fluctuations de taux de changes entre une multitude de monnaies nationales européennes, ainsi, et surtout, que les risques commerciaux inhérents à ces variations.
L’unification monétaire facilite en effet les échanges, donc les débouchés des productions des nations européennes, partant l’investissement au sein de ces mêmes nations.
La suppression des risques commerciaux inhérents aux variations des taux de changes est un atout majeur puisqu’en effet, auparavant, les entreprises présentes au sein de l’actuelle zone euro pouvaient être sujettes à des taux d'intérêt désavantageant l’exportation de leur production, donc l’ampleur de leurs débouchés.
Cette réduction relative des débouchés se traduisant à son tour par de moindres investissements et des revenus plus faibles, toutes choses égales par ailleurs.
L’euro est par ailleurs censé solidariser les membres de la zone euro : une sorte de solidarité économique et monétaire en temps de crise par la mutualisation de certains risques financiers et économiques.
Toutefois, les critiques de l’euro comme monnaie commune estiment que le monopole de la politique monétaire accordé à la BCE peut être désavantageux pour certains pays. Ils souhaiteraient en effet qu’une nation puisse disposer d’une certaine liberté dans l’établissement de leur politique monétaire.
Graphique de la paire EUR/USD :
En d’autres mots, la rigidité inhérente à la centralisation et le monopole de la politique monétaire paraît problématique, à plus forte raison dans un contexte global nécessitant de potentiels ajustements circonstanciels rapides et localisés.
De plus, ces critiques soutiennent que l’instauration de l’euro s’est faite principalement à l’avantage de l’économie allemande. Et, en effet, le mécanisme des taux de change européens, premier pas vers une unification monétaire de la zone euro, prit dès son origine le mark allemand pour valeur de référence.
Notons par ailleurs que durant le courant des années 1990, afin de faciliter la réunification des deux Allemagnes, un assouplissement de la politique monétaire eut lieu. Cet assouplissement favorisa l’économie allemande dans son ensemble aux dépens de l’économie britannique. Ainsi, le Royaume-Uni fut contraint de sortie du mécanisme des taux de change européen en 1992, afin de mieux lutter contre l’inflation importante qui l’affectait, en remontant nettement ses taux d'intérêt.
Certaines figures d’autres pays, tels le Portugal, l’Italie, l’Irlande et la Grèce, prônent également une sortie de l’euro, ou à tout le moins une politique monétaire plus conciliante, plus accommodante, c’est-à-dire « expansionniste » et soucieuse de leurs intérêts, eu égard à taux de chômage, taux d’endettement et aux taux d'intérêt élevés qui les affectent au moins depuis la crise des subprimes.
La fonction principale de l’euro est d’unifier, à tout le moins monétairement, l’Union européenne.
En 1992, le Traité de Maastricht a créé l’Union européenne telle que nous la connaissons aujourd’hui. Il constitue l’acte fondateur de l’UE, son objectif fut d’intégrer les trois piliers que sont la Communauté européenne, la Politique étrangère et de sécurité commune, et la coopération policière et judiciaire en matière pénale.
L’eurozone ne correspond cependant pas tout à fait à l’Union européenne : parmi les 27 États membres de celle dernière, 9 n’ont pas adopté l’euro comme monnaie nationale.
Ces États sont les suivants : La Bulgarie, la Croatie, le Danemark, la Hongrie, la Pologne, la Tchéquie, la Roumanie et la Suède.
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