@GLE : les CFD sont des produits particuliers. Et ils sont très pratiques quand par exemple on veut trader les actions à la baisse et profiter d’un effet de levier.
Sur le titres vifs (actions « normales ») tu ne peux prendre position qu’à l’achat et il n’y a pas de levier possible.
C’est là tous les avantages des CFD.
Cette vidéo fait réfléchir, faut-il trader le CFD avec confiance sachant que l’argent perdu n’est pas au moins équitablement redistribué aux gagnants?
À chacun ses préférences. Personnellement, je ne trade pas les CFD et je préfère les actions classiques. Pourquoi ? Déjà, pour les frais. Car selon le courtier (je suis chez DeGiro), c’est beaucoup moins cher de trader des actions que des CFD par exemple. En plus, je ne trade qu’à l’achat pour être tranquille et ne pas avoir à me poser la question du sens. Je le fais déjà avec le forex ça me suffit.
Et je trade les actions en Daily seulement. Du coup, ça ne me pose pas de problème.
Si vous voulez trader les actions sur le court terme, dans les deux sens et avec un effet de levier, le CFD sera plus approprié.
Ce sont là les principaux avantages des CFD action.
Mais c’est comme pour tout : si vous n’êtes pas à l’aise, que vous n’êtes pas convaincu, testez en démo ou restez à l’écart 😉
PS : Sylvain trade des CFD depuis toujours, et il n’est pas du tout contre. J’imagine donc que ça dépend vraiment du trader, plus que du produit lui-même. Certains y verront des inconvénients presque insurmontables, d’autres des opportunités. C’est comme ça pour n’importe quel type d’instrument 😉
@clem5 :
Et surtout, pourquoi par exemple sur le marché des actions, faudrait-il trader directement les actions au lieu des CFDs ? Il y a pourtant moins de frais…
Chez IG : CFD action 5€
Chez DeGiro : action US 0.50cts
Donc non, il n’y a pas moins de frais. Ça dépend du courtier choisi. Comme je l’explique plus haut, je ne trade pas les CFD, mais uniquement les actions.
Pourquoi y aurait-il plus de risques de perte sur les CFDs qu’ailleurs ?
Parce que les CFD te permettent d’utiliser un effet de levier. Ce n’est pas le cas des actions en titres vifs