A la demande de sylvain je met a la disposition du forum un lien concernant un reportage arte sur le devenir prochain du pétrole :
https://www.youtube.com/watch?v=GxC6ZOHZA0E
Plusieurs point sont a retenir ; en vrac :
D’ abord le crash pétrolier de 73 concernait un pic de la production de « oil » made in usa, tout le monde le sait
(extraction sur le sol américain et raffinage). Pic prévu de longue date par un scientifique dès la fin des années 40 et qui fut
bien entendu la risée de ses pair a l’ époque.
Nous sommes tous fils et adorateur du dieux pétrole, sans lui la population mondiale n’ aurait pas explosé dans ses proportions,
car nous dérivons tout du pétrole, nourriture (engrais pesticide, agriculture moderne), produit plastique, médicament, transport ect.
Secret de polichinelle de l’ opep, leur production (extraction de leur gigantesques gisements répresantant un bon tier des réserves mondiales) ont atteint leur pic de production. Traduction : il sont sur la pente descendente, avec tout les soucis que ça risque d’ engendrer, si tot.
Au passage, après avoir « sucés » la dernière goutte de pétrole, y’ en aura plus, du moins aussi « bon marché ».
Concernant les optimistes croyant en de nouvelles découvertes qui nous permettrait de tenir une bonne décennie de plus, il faut se souvenir des cours de biologie, bien rappelé dans le reportage : le pétrole se forme suite au dépot durant des millions d’ années de sédiment, végétaux entre autres mais aussi animaux, les dyno et autres bêtes qui peuplait la terre a cette époque. Ensuite toute cette matière doit être emprisonné au dessus d’ une roche mère imperméable, puis enfermé par une autre couche de roche « spongieuse » pour enfin être cuite durant encore quelques millions d’ années sous encore une autre couche. On sait donc depuis longtemps localiser d’ éventuel gisement, a l’ époque avec des carottage géologique de prime abord pour désormais scanner le sol a l’ aide de véhicule diffusant des ultrasons. Traduction on pourra découvrir ici et la quelques poches de taille réduite (voir le producteur canadien vermillion opérant sur le sol français en région parisienne avec quelque baril par jours seulement) mais plus de giga gisement comme ganwar en Arabie saoudite. Pour du conventionnel bon marché a extraire, sans trop de dommage, contrairement au massacre des sable bitumineux
ou de la fracturation hydraulique.
En conclusion a mon humble avis il nous reste une grosse vingtaine d’ années tranquille avant que le manque d’ un pic déja dépassé se fasse cruellement
sentir. Je dis cruellement parce d’ ici la très bientôt nous ne sommes pas a l’ abri de grosse fluctuation violente (déja observé il y a peu avec un baril
a 100 dollars) qui nous ferait passer le litre de gasoil de 1 a trois ou quatre euros, ce qui reste encore « absorbable ».
Voila, la prochaine vidéo parlera d’ économie, sur le reportage « un salaire a vie ».