
Finance comportementale
La finance comportementale permet sans aucun doute de mieux comprendre les réactions des investisseurs sur…
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Déjà un compte ? Connectez-vous iciLorsqu’une entreprise veut acquérir la totalité des actions (ou une grande majorité de celles-ci) d’une autre entreprise (dite « cible »), elle lance une « Offre Publique d’Achat » sur le marché financier.
L’OPA s’adresse aux investisseurs de la société cible pour les inciter à vendre leurs titres, moyennant au passage une plus-value très intéressante. L’objectif de cette opération est donc de prendre le contrôle de l’entreprise cible en obtenant plus de 50 % des parts (et des votes) de celle-ci.
Le processus obéit à un certain nombre de règles et doit d’abord obtenir le consentement de l’AMF.
On distingue « l’OPA amicale » de « l’OPA hostile » : la premières est lancée avec l’accord de l’entreprise cible (souvent à la suite de négociations), ce qui n’est pas le cas de la seconde.
Le terme « raid » est alors employé pour définir le côté agressif et inattendu de la manœuvre et les actionnaires sont libres d’y répondre positivement ou non.
Pour qu’une OPA puisse être lancée, il faut non seulement que la société cible possède plus de la moitié de ses parts distribuées entre plusieurs actionnaires mais aussi qu’elle soit cotée en Bourse.
Passé ce délai, il y a deux solution possibles : ou l’initiateur de l’OPA réussi et obtient le nombre d’actions nécessaires, ou il échoue et l’offre est abandonnée.
Pour se défendre, la société cible peut faire appel à un « chevalier blanc » : c’est une entreprise disposée à racheter la cible et à proposer à ses actionnaires une offre supérieure à la première pour la « sauver » de l’OPA hostile.
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