
Le KYC (Know Your Customer) est un aspect incontournable du monde des cryptomonnaies. Il implique…
Stradoji est le premier écosystème complet pour traders indépendants. Notre plateforme propose trois cursus de formations de débutant à expert, une série d'outils en accès libre, et surtout une suite de services exclusifs, dédiés à l'automatisation et à l'efficience de vos trades.
Remplissez les champs et rejoignez la team des traders Stradoji en 30 secondes :
Connectez-vous à votre compte
Vous avez atteint votre limite de lecture maximale en tant qu’invité
Et accédez en illimité à tous les articles d’EnBourse :
Déjà un compte ? Connectez-vous iciNEO est la monnaie native du réseau NEO. Elle est connue sous le nom de Antshares. Le projet a été chargé de créer une « économie intelligente » qui implique l’exploitation de contrats intelligents pour distribuer efficacement les biens numériques.
L’économie intelligente dont parle NEO est définie comme la combinaison d’actifs numériques, d’identité numérique et de contrats intelligents. Lorsque ces trois concepts fonctionnent ensemble, ils constituent une économie intelligente.
Une identité numérique serait une étiquette électronique pour les personnes ou les entreprises auxquelles les biens pourraient être attribués.
L’idée que NEO se fait de l’économie intelligente est donc la synthèse de ces trois concepts, permettant aux identités numériques des personnes et des entreprises normales d’interagir et d’échanger des biens numériques, le tout par le biais de contrats intelligents sûrs et sécurisés
NEO se base donc sur trois fondamentaux :
Le projet NEO a été créé en février 2014 sous le nom Antshares. Les cerveaux derrière cette création étaient Erik Zhang y Hongfei Da. Ils sont connus pour être les pionniers de la cryptomonnaie en Asie.
Neo est conçue comme une plateforme permettant de répondre aux besoins des entreprises. En juin 2015, le projet a été rendu disponible sur Github. Elle est donc devenue la première blockchain publique et open source chinoise. Ainsi, Antshares a ouvert la voie à d’autres projets de blockchain chinois.
En octobre 2015, Antshares lance une ICO (Initial Coin Offering) pendant 10 jours. Cette levée de fonds permet de récolter 2 100 bitcoins. Une deuxième ICO a lieu en août 2016 et permet de lever 6 120 BTC.
Lors de l’évolution de AntShares, en 2017, le projet a décidé de changer son image et le nom du projet. C’est à partir de là qu’il y a eu la cryptomonnaie NEO et l’image actuelle du projet. Mais le changement de nom permettait également de suivre une feuille de route claire pour permettre au projet de grimper rapidement au sommet et poussé par les développeurs.
Avec AntShares, l’entreprise cherchait à créer une plateforme blockchain très ambitieuse :
Au milieu de tout cela, la société a commencé à entretenir des relations étroites avec le gouvernement chinois et d’autres entreprises asiatiques
Il y a 100 millions de NEO au total et le réseau NEO comporte deux jetons. Le premier est le jeton que vous pouvez acheter donc le NEO. Il est indivisible, ce qui signifie que sa plus petite unité sera toujours 1, contrairement à certaines autres crypto devises. NEO génèrent le deuxième jeton, le GAS.
Les jetons GAS sont séparés et sont utilisés pour payer les transactions sur le réseau, ainsi que pour financer le fonctionnement des dApps. Les jetons GAS sont divisibles.
Les 100 millions de NEO sont en deux parties :
Le GAS est généré quand à lui à chaque nouveau bloc. Il est utilisé pour payer les transactions au sein de la plateforme. La quantité totale initiale de GAZ est de zéro. Avec l’augmentation du taux de génération de nouveaux blocs, la limite totale de 100 millions de GAS sera atteinte dans plus de 20 ans.
Chaque année, environ 2 millions de blocs sont générés et la génération initiale sera de 8 GAS par bloc. Il y aura une réduction annuelle de 1 GAS par bloc, par an. La réduction continuera à seulement 1 GAS par bloc et restera à ce taux pendant environ 22 ans. Après le bloc numéro 44 millions, le GAS total généré aura atteint 100 millions et, à partir de ce point, il n’y aura plus de production de GAS à partir de nouveaux blocs.
NEO fonctionne grâce à la technologie dérivée du « Proof of Stake ». Celle-ci est appelé « Delegated Byzantine Fault Tolerant », ou dBFT en abrégé. En français, on parle de « tolérance aux pannes byzantines déléguées ».
C’est une grande différence entre NEO et ses concurrents directs. En effet, Bitcoin utilise la « Proof of Work », ou « preuve de travail », et Ethereum s’oriente vers la classique « Proof of Stake », ou « preuve d’enjeu ».
Le mécanisme dBFT s’appuie sur un problème : la difficulté de garantir l’intégrité des informations transmises ainsi que la fiabilité des transmissions. Comment arriver à un consensus sur un réseau distribué dont certains nœuds peuvent être défaillants ou corrompus ?
NEO répond à cette problématique avec le mécanisme dBFT. Ainsi, chaque détenteur de jetons NEO constitue un nœud du réseau. Certains nœuds, appelés « nœuds délégués », ont une fonction spéciale : ils doivent valider chaque nouveau bloc écrit sur la blockchain NEO et conserver un registre des transactions (c’est pourquoi on les appelle aussi « Book keepers »). Pour devenir « nœud délégué », le détenteur de tokens NEO doit remplir certains critères (avoir un équipement spécial et un certain nombre de jetons GAS). Chaque nœud a un droit de vote pour élire les nœuds délégués.
À chaque fois qu’un nouveau bloc doit être validé, un nœud délégué est choisi de façon aléatoire pour être délégué leader. Le délégué leader montre aux autres délégués son registre de transaction pour ce bloc ; les délégués peuvent donc le comparer à leur propre registre. Si 66 % des délégués sont d’accord, alors le bloc est validé. Si le consensus n’atteint pas 66 %, alors un nouveau leader est désigné au hasard et la procédure recommence.
Le système dBFT a l’énorme avantage d’assurer la validité et l’intégrité de la blockchain NEO.
Contrairement à d’autres blockchains, NEO se veut connectée au monde réel. Son but est d’ailleurs de relier l’économie réelle à sa blockchain en permettant à ses utilisateurs de tokeniser des actifs du monde réel pour se les échanger plus facilement et sans besoin de tiers de confiance.
L’une de ses forces réside dans le fait que la rédaction de ses smart contracts est possible dans différents langages de programmation. A l’inverse d’Ethereum où les développeurs sont contraints d’utiliser Solidity, avec NEO ils peuvent librement choisir le langage utilisé.
Ensuite, il faut noter le fonctionnement spécifique du mode de consensus de NEO. En effet, sur NEO le consensus doit se faire avant même que le bloc soit intégré sur la blockchain. Ainsi, cela permet de ne jamais avoir 2 versions différentes d’une même blockchain, contrairement aux cryptomonnaies classiques où les forks sont monnaie courante.
Enfin, les récompenses du Proof of Stake sont distribuées en GAS et non en token NEO. Cela permet de limiter la pression vendeuse sur ce dernier.
C’est une société distincte de Neo qui est responsable de la création de l’architecture de réseaux distribués (DNA). Cette société est onChain créée par Hongfei et Zhang
Le but est de permettre à quiconque de créer et de mettre en œuvre de blockchains standardisées qui peuvent interagir les unes avec les autres. Ce processus sera vital pour la mise en œuvre d’une économie intelligente.
Le KYC (Know Your Customer) est un aspect incontournable du monde des cryptomonnaies. Il implique…
Une STO (Security Token Offering) est un moyen de lever des fonds en vendant des…
S’il est un document à étudier avant d’investir sur un projet crypto, le white paper,…