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Déjà un compte ? Connectez-vous iciBora se définit comme un réseau blockchain essentiellement basé sur le divertissement décentralisé. Il se veut être un acteur majeur dans la GameFi en hébergeant différentes applications et jeux.
Son réseau souhaite représenter une alternative optimale et moins coûteuse qu’Ethereum pour les développeurs de jeux vidéos. Ainsi, il mise sur l’évolutivité, la rapidité et la sécurité.
Son architecture à double chaîne présente d’un côté le réseau Klaytn public utilisé pour le développement des applications DeFi et de l’autre le réseau Bora qui agit comme couche d’exécution.
Grâce à cette structure, Bora utilise 2 tokens pour fonctionner : le BORA et le BORA Point. Ils reposent respectivement sur les blockchains Bora et Klaytn.
L’équipe de BoraNetwork à l’origine du projet Bora est sud-coréenne et la plupart des collaborateurs sont issus du milieu du divertissement et du jeu vidéo.
Son réseau principal a officiellement été lancée en 2019 et n’a pas eu recours à une ICO.
Initialement, la blockchain Bora fonctionnait en duo avec la blockchain Ethereum. Cependant, le manque d’évolutivité et les frais de transaction élevés l’ont conduit à repenser ce duo.
Le 31 octobre 2021, Bora a effectué une migration de son réseau pour se rapprocher de Klaytn.
Son jeton BORA, jusqu’alors de type ERC-20, s’est transformé pour devenir de type KCT et compatible avec Klaytn.
Son architecture particulière génère 2 tokens qui lui sont propre et stimulent la croissance de son écosystème : BORA et BORA Point
Initialement, l’offre maximale était de 1,325 millions de tokens. Depuis la mise en ligne de sa version 2.0, l’offre maximum a été recalculée pour descendre à 1 205 750 000 de tokens.
La répartition de ces jetons a également été réajusté et des pools ont été créés comme suit :
Le jeton est utilisé sur la blockchain Klaytn et possède une fonction marchande puisqu’il est échangeable sur différents exchange.
En revanche, le BORA Point reste interne à l’écosystème de la blockchain BORA et trouve son utilité dans les échanges intrachain. Il permet à son détenteur d’évoluer sur la chaîne de bloc Bora, effectuer des achats ou encore jouer à des jeux.
A noter, le BORA et le BORA Point sont mutuellement échangeables grâce au pont existant entre les deux blockchains.
Les deux jetons sont tous les deux technologiquement semblables et de type KCT.
En outre, la blockchain principale repose sur 3 couches différentes, chacune ayant un rôle spécifique pour différents aspects de son écosystème.
Elle sert de base à l’architecture de son réseau et à son jeton. Ce couche centrale est responsable de la multiplication de sidechain autour du réseau Bora. Ainsi, elle le rend évolutif et facilite la bonne marche des transactions.
Elle est chargée de fournir les outils nécessaires (de type API et kits de développement logiciels) pour le développement de nouveaux projets. Bora a développé « Bora Atoll« , la première boite à outil de développement blockchain. A l’origine, il devait simplifier le travail des développeurs. Depuis, de nouveaux outils ont été développés, notamment des outils d’analyses.
C’est également ici qu’officie l’explorateur Bora lequel permet l’audit régulier de la blockchain.
Il s’agit de la couche haute, celle qui va permettre les échanges de jetons mais aussi l’hébergement des applications développées dans l’écosystème Bora.
Le 31 octobre 2021, le réseau s’est détaché d’Ethereum jugé trop honéreux et lent pour se rapprocher du réseau public Klaytn.
Klaytn fonctionne par le biais de l’algorithme de consensus de tolérance aux pannes byzantine pratique (PBFT). Afin d’offrir une offre cohérente, l’équipe de Bora a décidé de modifier son système de consensus pour adopter le même que Klaytn.
Le PBFT fonctionne en 4 étapes :
La tolérance aux pannes byzantine pratique possède l’avantage d’être plus rapide. Cet algorithme repose sur une prise de décision collective grâce à un système de vote de tous les nœuds. Il permet d’arriver à une solution efficace même lorsque certains nœuds ne répondent pas ou donnent des informations incorrectes.
En outre, le leader est différent après chaque cycle. Il peut être modifié par un vote de tous les nœuds si celui-ci n’est pas assez rapide ou s’il est perçu comme malveillant.
De plus, cet algorithme est efficace si le nombre de nœuds malveillants est inférieur à 1/3 de la totalité des nœuds. Ainsi, plus le nombre de nœuds augmente plus le poids des nœuds malveillants diminue.
En revanche, cela peut créer un problème de congestion du réseau dû aux nombreux échanges que ce consensus demande.
En termes de gouvernance, le réseau a mis un place un système de « conseil de gouvernance » ou GC. Le GC repose sur 4 comités spécifiques : comité de l’économie des jetons, de contenu, technologique et marketing
Chaque comité est présidé par d’un chef de comité sous l’égide d’un partenaire (une société ayant noué un partenariat avec Bora). Ce dernier régit ainsi l’ensemble des comités. Tous les partenaires participants sont récompensés en Bora.
Le projet repose sur une structure modulaire appréciée des développeurs.
En effet, il leur permet de développer leurs projets et de les tester avant de les migrer vers d’autres blockchains.
Ce développement de projet est d’autant plus efficace que le réseau permet d’exécuter plusieurs transactions à la fois sans interruption. En réalité, cela peut même atteindre les 2200 transactions par seconde par sidechain.
Ce cadre modulaire offre de multiples opportunités aux développeurs de projets souhaitant utiliser l’écosystème Bora. Ils ont la possibilité d’intégrer des sideschains dans leurs projets sans restriction. Cet aspect est d’autant plus vrai que les outils proposés sont simples et accessibles.
Bora vie à offrir un écosystème complet, adaptable, performant et sécurisé pour les utilisateurs comme pour les fournisseurs.
Même si Bora est principalement axé sur le divertissement et le jeu vidéo, d’autres secteurs peuvent bénéficier de son réseau.
Actuel PDG de BORANETWORK, il est avant tout un développeur spécialisé dans les jeux vidéo avec une expérience de 20 ans. Son parcours est axé sur les nouvelles technologies. Il a évolué chez Samsung Electronics où il s’est fait un nom dans le milieu. Il a supervisé plusieurs plateformes de jeux notamment Purple, Stove et NHN USA
Yune est issu dans le domaine de l’Economie. Il a cependant spécialisé sa carrière dans le domaine de l’économie du jeu dans lequel il a reçu de prestigieux prix. Pendant 6 ans, il a occupé le poste de producteur exécutif du service « poker » du jeu HANGAME et généré plus de 300 millions d’euros de chiffre d'affaire annuel. Il occupe le poste de CSO pour BORANETWORK.
Igoo Lee est le CTO du projet. Il est également issu de l’univers du jeu vidéo. Sa mission la plus notoire est celle de superviseur des opérations d’infrastructure de base de données pour le célèbre jeu de football FIFA Online.
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